FESTIVAL TELERAMA A L’ESPACE MAGNAN – 21>28/01

CPM06 20 janvier 2015 0

festival_teleramaA partir du mercredi 21 et jusqu’au mardi 28 janvier 2015, retrouvez le Festival Télérama, avec notre nouvel équipement Cinéma numérique.
Pour voir ou revoir, sur grand écran, en VF ou VOSTF, 9 des meilleurs films de l’année 2014 élus par la rédaction du magazine Télérama – en partenariat avec l’AFCAE (Association Française des Cinémas d’Art et d’Essai) : fictions, documentaire et films d’animation jeune public dès 7 ans, et 2 projections-débats en soirée animées par Benoît Arnulf en partenariat avec l’association Les Ouvreurs.
Tarifs 3,50 € sur présentation du Pass Télérama complété, disponible dans les parutions des 14 et 21 janvier 2015 (carte Pass valable pour 2 personnes), ou plein tarif 6 €. Nouveauté 2015 : Prix des Festivaliers. Votez pour votre film préféré parmi les 16 films du Festival ! Bulletin de participation disponible à l’accueil ou sur www.telerama.fr.

Pour télécharger le programme, cliquez ici.

Note d’intention
Dix-huit ans, déjà, qu’on se retrouve, vous et nous, au mois de janvier pour faire le point sur le cinéma.
Va-t-il bien ? Et que nous dit-il du monde ? Car les vrais cinéastes, ceux que nous aimons et que vous aimez, sont tous des prophètes. Des messagers. Pas forcément aimables, c’est vrai, pas vraiment flatteurs, d’accord. Mais en alerte. Constamment…
Certains réalisateurs y vont carrément : dans Léviathan, Andreï Zviaguintsev filme le néant absolu dans lequel se débat sa chère Russie. […] D’autres rusent : dans Une nouvelle amie, c’est en travestissant son héros et en déguisant son film en conte que François Ozon parvient à saisir l’air du temps. Parfois, il suffit d’une simple fissure dans un appartement (Dans la cour, de Pierre Salvadori) pour que la faille grandisse et fasse tout imploser. […] D’autres, plus malheureux, plus malchanceux, deviendront les clochards que filme avec une rare tendresse Claus Drexel dans Au bord du monde, un bijou qu’on vous invite à découvrir. Les films n’ont pas été roses, en 2014, mais, paradoxalement, ils ont tous été réalisés avec un enthousiasme communicatif : […]Ferveur de Robin Campillo pour ses « eastern boys ». Et ardeur de Bertrand Bonello, dans Saint Laurent, à montrer un créateur au travail.
Une œuvre qui se fait…
Pierre Murat, rédacteur en chef adjoint du service cinéma

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